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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 10:57
 
  Grandes-operations-environnant-la-ZAC-des-Groues.png
 
 
Cet article fait un point sur la conception de la ZAC des Groues et ses principales problématiques, au stade de la réunion des « acteurs » et de la réunion ouverte qui ont eu lieu le 13/09/2013. 
RAPPELS / CONTEXTE
La ZAC des Groues se situe sur un terrain nu cédé par l’Armée, d’environ 39 ha  en zone urbaine :
pour 2/3 sur la commune d’Orléans, au contact à l’est du quartier des Blossières, au sud, au delà de la voie  ferrée Orléans Tours, du quartier Dunois Chateaudun jusqu’à l’hyper-centre, et à proximité côté est de la ZAC Dessault : voir plus loin
pour 1/3 sur la commune de St Jean de la Ruelle, en contact avec sa zone centrale côté ouest, une zone hétérogène au nord, et à proximité, côte nord ouest, de la  ZAC d’Alleville : conf lien
    
 
 
Il ressort des élément ci-après sur les deux réunions du 13/09 que s'engage une deuxième phase de conception du projet, la phase de réflexion initiale allant des premières idées, en 2005 /2006 jusqu’à ce qui a été présenté par les cabinets d'études choisi en 2012 :  
  • un  large éventail de choix reste ouvert
  • le dialogue avec les habitants fait progresser la réflexion sur le projet, stratégique du fait de la taille et de la position du site, que des contraintes rendent très complexe : voie ferrée en lisière, intégration dans le  tissu urbain environnant, risques d’effets pervers d’une voie nouvelle transversale, impact à anticiper de projets voisins considérables (conf plan en début d’article)  
L’objectif de l'article est de préciser les bases de la phase de conception qui s’engage.
Pour cela les informations sont regroupées comme suit :
  •       éléments de la phase de réflexion initiale
  •       principes pour la suite de la conception   
  •       convergences
  •       sujets difficiles
La plupart des sujets figurant dans ces § ont été discutés en réunion publique le 13/09, mais  l’article rappelle aussi les sujets qui ont été soulevés antérieurement et devront être discutés lors d'ateliers et concertations à venir (ces sujets sont signalés en marron).
    ELEMENTS DE LA PHASE INITIALE EN LIEN AVEC LA REFLEXION QUI S’ENGAGE 

Organismes mis en jeu
 SIVU (syndicat intercommunal à vocation unique) regroupant St Jean de la Ruelle :
conduit l’opération
 Bureaux d'études d’urbanisme et d’environnement sélectionnes en 2012 
 Groupe d’acteurs constitué pour exprimer les attentes et points de vues d'habitants et organismes du secteur, outre les apports des réunions de concertation ouvertes puis les enquêtes publiques sur dossiers.

Bases de conception
Caractère du projet : création d’un éco-quartier regroupant de l'habitat et des activités, d’un parc boisé et d’une voie transversale

Réflexion initiale : sur la surface du parc, le nombre de logements, le rôle et le gabarit de la voie transversale. Ces éléments ont été rendus publics il y a des années et ont donné lieu à des observations (conf article antérieur en lien), avec une contre-étude  de l’association Pôle Nord.
Premiers diagnostics et idées des bureaux d’études présentés le 13/09 au groupe d’acteurs et en réunion publique : ils sont explicités ci-après
 
PRINCIPES POUR LA SUITE DE LA CONCEPTION (dégagés en réunion du 13/09)
Il s’agit d’un projet lourd qui va se dérouler par étapes dans un contexte changeant (économique, technologique, de choix sur des projets voisins …) … : il a été souligné que la qualité première dans la conception est la facilité de faire évoluer le projet dans le temps

 
Les éléments mentionnés lors de la phase initiale de réflexion ne sont pas figés,
que ce soit sur l’organisation des zones d’habitat - activités - parc(s), les surfaces respectivement affectées, le nombre de logements, la conception des voies, etc
 
D'où l'accord des élus présidant au projet sur l'abandon de la notion "d'invariant" figurant dans les documents présentés le 13/09, appliquée à la surface totale de 9 ha d'espaces paysagers comme à d'autres éléments

Du fait des dispositions en période électorale, la prochaine réunion publique de concertation est prévue vers juin.

   
Ce délai ne concerne pas le groupe d’acteurs qui pourra se réunir dans l’intervalle et travailler en ateliers ouverts à des personnes supplémentaires susceptibles de contribuer aux réflexions.

IV CONVERGENCES
 
Les apports de l’opération aux besoins de la zone urbaine sur le végétal, les équipements publics ... concernent l’agglomération et pas seulement son quart nord-ouest, ni a fortiori les seuls habitants de la ZAC

Le quartier créé doit s’intégrer avec les quartiers environnants, en étant ouvert sur ceux-ci : pour cela il doit être utile aux habitants des quartiers, et réciproquement les habitants du nouveau quartier doivent utiliser des ressources des quartiers environnants. Ce serait donc une erreur que d’implanter systématiquement dans la ZAC des services publics supplémentaires.
   
 
Le sujet des déplacements est - ouest lié à la création de la voie transversale ne doit pas occulter l’importance des déplacements nord – sud, malgré la difficulté de franchissement la voie ferrée : pour connecter logement- emplois (les 1000 emplois du Centre Administratif sont cités comme exemple) et faciliter les déplacements des habitants de la ZAC (et quartiers proches) vers l’hyper-centre.
 
 
Bien que l’accès automobile soit nécessaire (conf en lien, le rôle que peut jouer le pont de la Boeche, à l’arrière de Sonis), il ne s’agit pas de développer dans la zone et ses accès, des flux importants pénétrants ou de transit, qui mettraient en cause la qualité de vie dans le secteur (intervention à ce sujet d’habitants de la rue du 151è, prévue pour être dans le périmètre de la future  voie des Groues)
 
 
Il faut clarifier les objectifs de flux sur la voie des Groues, qui doit être un boulevard urbain du fait de sa position en zone densifiée,  et d'autres voies de contournement à créer en raison de l'évolution urbaine.

Parmi les solutions a été évoqué l'option du passage de la voie des Groues dans le cœur de quartier prévu dans la ZAC : un exemple réussi d'une telle disposition a été montré lors de la réunion, comme moyen de ralentir la circulation donc dissuader le transit. De plus cette solution favorise la desserte centre par transport en commun en site propre le long de la nouvelle voie.
 
Il faut naturellement favoriser au maximum les transports en commun et les déplacements « doux ». A ce sujet il a été rappelé :
 
- en réunion :

demande d’aboutement vers le nord de la piste cyclable de la rue des Murlins, conf article en lien   
 
- en prolongement de réunion : prévoir, compte tenu du parcours de la voie des  Groues,  une réservation de bande de terrains pour faciliter un embranchement tram à Libération, conf article en lien

Le sujet de la préparation du passage d’un futur embranchement de tram vers l’hôpital nord a fait l’objet de 2 articles antérieurs : le premier, en lien ci-dessus, sur l’option de passage via les Groues, l’autre, via la ZAC Dessault : conf lien.

Un article récent de LaRep indique que l’AgglO aurait intégré cette possibilité future dans sa réflexion sur la ZAC Dessault : dans cette hypothèse, un embranchement de tram vers le centre des Groues reste à envisager pour le futur, vers l'est (centre St Jean de la Ruelle...)
 
 
Il a été présenté, en vue du débat sur le nombre de logements, la différence entre densité réelle et densité perçue, en fonction de la morphologie du bâti : conf pour mémoire l’article antérieur sur le sujet de la densité, en lien

Il y a différentes options d'organisation / nombre pour les parkings dans les éco-quartiers et zones bien desservies par les transports en commun : un article antérieur, en lien, met en évidence qu’il n’y a pas encore de conclusions fiables sur ce qu’il faut faire ou pas. Il y a eu convergence le 13/09 pour tenir compte des réalités de la vie dans la zone et ne pas se projeter dans le virtuel illusoire.

SUJETS DIFFICILES  
 
Parc / espaces paysagés (a constitué l’essentiel des discussions en prolongement de la réunion ouverte)
 
La problématique à traiter combine les sujets suivants (non exhaustif) :


Surface totale dévolue : le débat sur l’augmentation au delà de 9ha a été accepté

Parc d’un seul tenant ou réparti dans plusieurs espaces : la présentation ouvre toutes les possibiltés

Articulation avec les bâtiments du site : il est prévu des formes d’habitat diversifiées donc avec relation différente avec le végétal

Articulation avec les quartiers environnants : le principe d’ouverture du site sur les quartiers environnants laisse différentes options sur le sujet 

Sûreté / sécurité et prévention situationnelle : conf article antérieur en lien


Les difficultés particulières observées dans les discussions sur le parc:
 
Ressenti de certains que la mention de la sécurité est destinée à permettre de minimiser la surface et l’ouverture vers l’extérieur


Citation d'exemples à suivre sans références aux situations locales, solutions mises en œuvre, conditions pour les transposer et résultats réellement atteints (exemple : à ... c’est immense, tout est ouvert et il n’y a pas de problèmes).

Chaufferie au bois (non abordé dans la réunion : le volet énergie y a été mentionné mais pas développé : reste à faire dans la suite)

   Une très grosse chaufferie « biomasse » (en grande partie des palettes) est en cours de construction  dans la zone sud de la ZAC des Groues : elle est destinée à alimenter le chauffage urbain et revendre de l’électricité à EDF.
  
 Une telle installation dans une zone urbaine, près d'un éco
quartier,  apparaît curieuse, d'autant qu'une étude sur la géothermie reste à réaliser sur le site (conf ci-après) :  
   
   le contenu de ses fumées (même filtrées selon les meilleures techniques) s’ajoutera aux pollutions du secteur qui dépassent les normes sanitaires, en particulier dans les périodes de pointe

   il y aura plusieurs dizaines de milliers de passages de camions par an pour alimenter en bois le site, sur la future voie des Groues et sur le RD2020, qui supportera de plus du trafic supplémentaire du à la densification, en particulier sur la ZAC Dessault qu’elle longe.

 

 
En tous cas, compte tenu de cette situation et du fait que cette installation est longée par une voie ferrée, il a été demandé à la Ville de s’assurer / faire en sorte que l’implantation des bâtiments sur le site de la chaufferie puisse permette ultérieurement, le cas échéant, une alimentation par fer (c'est-à-dire ne gêne pas l’alimentation par les derniers wagons d’un train reculant sur le site)

Cette demande est d’autant plus fondée que le rapport du Commissaire Enquêteur sur cette opération indique dans les conclusions que cette évolution sera possible.


Remarque de JC Lézier sur l’utilisation de la géothermie : selon le document remis en séance, seule une partie des logements des Groues serait envisagée chauffée par géothermie. S’il existe des ressources suffisantes pour chauffer ce nouveau quartier, pourquoi ne pas les utiliser et évite un consommation polluante de bois de chaufferie de même que des déplacements de camions pour l’alimenter. L’intérêt de la géothermie, quand elle est possible, n’est plus à démontrer et il ne faut  surtout pas se baser sur les ennuis d’il y a plus de 40 ans pour la bannir (les aciers actuels résistent à la corrosion qui a posé des problèmes à l’époque) !

Nous avons aujourd’hui des exemples en France qui fonctionnent bien et sont visitables : Creil, Melun,… Le BRGM et ses filiales, Compagnie Française de Géothermie (CFG) et ANTEA, est un des pionniers dans ce secteur et a réalisé des centrales de production de haute énergie dans plusieurs pays (Guadeloupe, Indonésie..). Je pense qu’il faudrait fortement conseiller la réalisation d’une étude de la ressource géothermique complète de manière à bien calibrer le projet s’il est réalisable. Autre avantage, il n’y a pas de pollution avec un tel système et éventuellement, avec les pompes à chaleur utilisées, la climatisation pourrait être envisagée

 

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 21:23

avis d'enquete publique sur le plu d'orleans     

CONTEXTE 
:  

Le projet de PLU d’Orléans vient d'être mis en enquête publique pour une durée de 1 moins (peut être accrue si besoin, à l’initiative de la Commission d’Enquête : conf, en lien, l’article antérieur sur les nouvelles règles d’enquêtes publiques

Le projet de PLU avait été adopté en Conseil Municipal le 21 décembre 2012, après des réunions de présentation / concertation : l’article en lien rappelle les observations que nous avions faites à ce stade .

Le projet de PLU a ensuite été communiqué, pour Avis, aux Services de l’Etat (et plus largement des « Personnes associées à son élaboration »).      

Dans ce cadre une "Autorité Environnementale" (la DREAL / Direction Régionale de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement) a produit ses conclusions en amont de l’Avis de l’Autorité administrative (Préfet), conformément aux nouvelles dispositions sur les "documents d’urbanisme ayant un fort impact environnemental" : conf l’article antérieur sur l'évaluation environnementale, en lien     

   
Pour mémoire : article antérieur, en lien, sur le processus complet d'élaboration d'un PLU 

     

  1. ACTUALISATION DE LA SITUATION EN DEBUT D’ENQUETE PUBLIQUE   :

Il y a deux éléments nouveaux depuis l’approbation en Conseil Municipal de décembre :

  • Les prises de positions sur le projet de PLU, qui aboutissent à un avis favorable du Préfet avec des réserves qui impliquent un travail approfondi sur certains aspects : un article spécifique sur les réserves et observations interviendra dans les prochains jours.
  • Le lancement par la Ville et l’AgglO d’une étude sur la circulation à Orléans, qui doit prendre en compte l’évolution urbaine découlant du projet de PLU et dont des résultats n’interviendront qu’à partir de septembre.

Or le projet de PLU fait l’objet d’une enquête publique avant tout éclairage sur les conséquences.

La densification dans les conditions actuelles conduit à des risques d’importants flux supplémentaires, bouchons

... avec un impact évident sur la qualité de vie dans la ville, impact, en particulier sur la qualité de l’air qui est un point faible d’Orléans,

... car il y a actuellement addition sur l'axe passant en centre ville, d'une part des flux locaux de l'agglomération et d'autre part de flux de transit d’une " nationale " de fait 

(attesté par une des réserves du Préfet sur le projet : nécessité de prévoir le « passage dans la ville de convois exceptionnels de type super E, qui n’ont pas de limitation en tonnage, longueur et largeur de dimensions, tonnage dans la mesure où il n’y a pas d’itinéraire de substitution »)

Voici la nature de la demande que nous avons communiquée au sujet de l’articulation du projet de PLU et de l’étude de circulation :

en l’absence d’une connexion entre le projet de PLU et les résultats de l'étude sur les déplacements,

... et compte tenu en particulier de l’écart entre d’une part l’augmentation de la charge des mails – RD2020 – Jean Zay / Droits de l’Homme, liée à leur densification en activités tertiaires et de leur rôle de desserte des nouvelles grandes ZACs, et d’autre part de l’objectif de réduction des flux sur les mails pour recoudre la ville,


... il est demandé, pour lever des objections logiques sur le PLU dans ces zones lors de l’enquête publique,


... que soit communiqué un texte indiquant les solutions envisageables par la Ville et l’AgglO en anticipation des conclusions de l’étude de circulation 
 

 

Cette demande concerne naturellement le sujet  du contournement dès lors que l'étude mettrait en évidence qu'il conditionne la qualité de vie dans la ville densifiée selon les orientations du PLU.


Ce sujet ressort de plus d'une observation des Services de l’Etat qui figure dans le dossier d'enquête publique :

« intensifier l’ambiance urbaine des mails ne sera possible qu’à condition d’offrir au sein de l’agglomération des solutions aux besoins d’échanges qui se concentrent actuellement sur le centre d’Orléans (les boulevards comme la RD2020 au nord sont classés voies à grande circulation et leur aménagement requiert la concertation avec les Services de l’Etat) »

  1. DISPOSITIONS DE L’ENQUETE PUBLIQUE :

Où consulter le dossier :

Hôtel de ville : semaine de 8h30 à 17h30 (17h le vendredi) et samedi de 9h à 12h

6 Mairies de proximité : semaine de 8h30 à 12h30 et 14h à 17h (sauf le matin du lundi) et samedi de 9h à 12h.

Permanences de la Commission d’Enquête :

Hôtel de ville : 8 juin de 9h à 12h, 12 et 21 juin, de 14h à 17h

Mairie de proximité Nord : 1er et 15 juin, de 9h à 12h

Mairie de proximité Est : 3 et 21 juin, de 14h à 17h

Mairie de proximité Ouest : 8 et 20 juin, de 9h à 12h

Mairie de proximité centre-ville : 23 mai de 14h à 17h et 15 juin de 9h à 12h

Mairie de proximité St Marceau : 24 mai de 9h à 12h et 13 juin de 14h à 17h

Mairie de proximité La Source : 5 juin de 9h à 12h et 17 juin de 14h à 17h

 

 

 

 

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 09:35

Orleans 2025     

 

 

 

 

       I.          INTRODUCTION

 

Lors de l’enquête publique sur le projet de PLU d’Orléans, le sujet de l’évolution de la qualité de vie sera naturellement au cœur des analyses.

En effet le PLU, qui définira l’évolution de la ville pour une quinzaine d’années, doit être conçu pour lutter contre son étalement (pour éviter le « mitage » des environs...) tout en y développant la qualité de vie, pour satisfaire les habitants actuels mais aussi pour sa réussite dans la compétition entre villes; la qualité de la vie dans une ville étant un facteur majeur de son
attractivité, conf article en lien

 

Dans ce cadre il faut mettre en exergue l’ensemble « densification-circulations - qualité de l’air- bruit » : le présent article a pour objectif d’actualiser les informations sur ces 4 sujets (les articles antérieurs qui s’y rapportent sont mis en lien).

 

     I.    ACTUALISATION "DENSIFICATION ET CIRCULATION INDUITE"  

    

  Contexte : orientations du projet de PLU et observations :

 

Lors des réunions sur le projet de PLU (partie PADD : en juillet, conf article en lien et partie règlements de zones : en décembre, conf article en lien) il est ressorti que la densification des quartiers d’habitation existants ne semblait pas brutale, mais aussi :    

·      un objectif de forte densification en activités tertiaires sur les mails et la RD2020 : conf « Renforcer les activités tertiaires dans l’espace urbain »  page 11 du projet de PADD du PLU, en lien

 

·      la création /développement de ZACs très importantes desservies par ces axes : conf « Organiser le développement urbain par de nouveaux quartiers » page 53 du PADD en lien (la considérable ZAC Dessaux, conf ci-après, s'y ajoute)  
 

     

  1.       Actualisation sur la ZAC Dessaux :
    
 

Il s’agit d’une actualisation de l’article en lien,  qui soulignait le risque que le trafic induit

par cette « gigantesque » ZAC surcharge de l’axe RD2020-mails, à l’opposé

l’objectif de réduire le trafic sur les mails pour pouvoir « recoudre la ville" (conf ci-après).
    
 

·     Rappels sur le projet de ZAC Dessaux présenté en 2011, conf lien 

    
   
Au total 110 hectares, 2.500 logements, 650.000 m2 de bureaux, avec, dans une première tranche de 34ha prévue pour 2015, le projet Citévolia de la CCI, conf lien,  destiné à intégrer le transfert du siège et d’activités de formation dans un dispositif  défini comme
« un espace de vie, un quartier d’affaires, une plateforme innovante de services pour les entreprises, leurs salariés et usagers »
   
   

·     Actualisation : un article de la Tribune d’Orléans du 2 février 2013, en lien, fournit de nouvelles précisions, dont sont extraits les éléments suivants

 

 

La première phase de ce nouveau quartier, mêlant 140.000 m2 de bureaux, 3.000 logements (soit en première tranche plus que le projet total initial) devrait débuter en 2015.

 

« C'est un projet gigantesque. Le plus grand qu'Orléans ait connu depuis plusieurs dizaines d'années, «de même ordre d'importance que La Source», affirme Charles-Eric Lemaignen, président de l'AgglO d'Orléans ».

 

« Trois groupements en compétition ont jusqu'à fin avril pour présenter leur esquisse de projet urbain sur les 20 ans à venir, ainsi qu'une estimation du coût de l'aménagement et le contenu de la première phase du projet, à savoir les 36 hectares du futur quartier d'affaires Citévolia.

 

Le projet comprend un pôle tertiaire avec 140.000 m2 de bureaux pour la première phase, dont Citévolia, avec de la formation continue, de l'innovation... ainsi qu'une offre hôtelière pour répondre aux besoins en matière de tourisme d'affaires, et 3.000 logements à terme soit 6.800 habitants, accompagnés par des équipements de proximité comme des crèches, des écoles et des gymnases,

 

«L'idée est d'étendre la ville vers le nord, avec une coulée paysagère au milieu, intégrant des transports en commun en site propre». La fluidité de la circulation fait d'ailleurs partie des autres priorités du projet, avec une ouverture de la gare d'Orléans à l'ouest et la réorganisation du stationnement et du franchissement des voies ferrées.

 

La mise en œuvre de la première phase du projet, sur 36 hectares, se fera sous forme d'une ZAC, et devrait débuter en 2015 avec 14.000 m2 de bureaux et 600 logements, construits autour du futur centre d'affaires Citévolia. La Chambre de commerce et d'industrie devrait ainsi pouvoir aménager dès mi-2015
    
 

Lors de la réunion sur la requalification du tronçon de la RD2020 dans la zone Libération-gare de la RD2020, le Président de l’AgglO a signalé l’objectif que la ZAC ne pose pas de problème de circulation dans la zone urbaine et l’engagement d’une étude approfondie pour cela : il reste donc à voir à quelles solutions celle-ci aboutira.

 

     

·     Point à préciser : le transport en site propre traversant la ZAC mentionné dans l’article ci-avant,  desservira-t-il aussi l’Hôpital Nord, pour  les raisons et avec les possibilités indiquées dans l’article antérieur en lien.

 

    2.     Actualisation sur la ZAC des Groues (conf article antérieur en lien)

 

·      Rappel :  projet d’implantation en lien   , portant sur 1200 logements, des activités tertiaires et un parc de 8 ha.

 

·      Actualisation

 

ü  Une alternative a été proposée par l’Association Pôle Nord : destinée en particulier à renforcer l’intégration du site dans le tissu urbain environnant et augmenter les dimensions du parc boisé en réduisant le nombre de logement à 800/900

ü  Mise en place de la gouvernance du projet dans le cadre du SIVU constitué par Orléans et St Jean de la Ruelle : constitution en février du Comité d’acteurs, conf lien

 

ü  Projet connexe : création d’une chaufferie au bois pour le réseau de chaleur urbain (nord de la Loire)  : Rapport du Commissaire Enquêteur, en lien 

Ce projet a un impact sur la circulation : alimentation par environ 50 AR de camions par jour sur la RD2020 et la voie des Groues et sur la qualité de l’air en raison de ce trafic et des fumées, en particulier provenant de la combustion de palettes, part notable du combustible de la chaufferie.    

Sur ce dernier point se pose la question des dispositions / contrôles … permettant de garantir aux habitants que ne seront jamais brulés des broyats de palettes traitées (et plus largement de bois traités) qui relèvent de l’incinération de déchets et non de l’utilisation comme combustibles de chaufferies  : conf  le document en lien        

Concernant le flux de camions sur le RD2020 et la voies des Groues (au contact de l’éco-quartier) :    

ü  il est évident que l’exigence d’une telle noria de camions sur des voies en zone urbaine met en cause le principe même d’y implanter une chaufferie au bois et qu’il y a lieu de revoir le sujet en tirant parti de la voie ferrée qui passe le long du site.    

     

ü  suite à notre demande, la Ville a précisé les difficultés techniques et   économiques d’une alimentation du site par voie ferrée au stade actuel,        

ü  le Commissaire-enquêteur a indiqué dans ses conclusions, en lien, que l’alimentation par camions pourrait ultérieurement se faire voie ferrée.    

 

ü  Sur ces bases il faut a minima que l’organisation du site soit conçue     pour cette évolution : point de livraison devant pouvoir être atteint par des wagons en bout de train en recul...
    
 

     II.          ACTUALISATION SUR LE PLAN DE CIRCULATION :
   
   

·     Rappel : élaboration d’un PLU communal fonde la densification de la ville sans la coupler à une étude d’impact sur les déplacements, en particulier la circulation automobile, ce qui constitue problème crucial à Orléans du fait du problème des mails et d’un nombre de ponts insuffisants.
   
   

Le fait que le sujet des déplacements relève du niveau AgglO ne fait pas disparaitre la réalité : comment concerter sur une densification sans en tenir compte, alors qu’elle induit les circulations de dizaine(s) de milliers d’habitants supplémentaires, a fortiori avec un projet de requalification des mails qui implique d’y réduire les flux.

En l’absence d’information sur des dispositions ad hoc il y a une forte crainte d'explosion du transit dans des rues de quartiers denses limitrophes (conf articles antérieurs en lien, sur la circulation à Orléans et sur son
 articulation avec le PLU.)
    
 

·     Actualisation : annonce par la Ville du lancement d’une étude de circulation, qui devra naturellement prendre en compte l’impact de la densification prévue dans le PLU.

 


Se pose naturellement la question de la liaison entre l’enquête publique sur le projet de PLU,
avant juillet, et les conclusions de cette étude.

 

Un éclairage sur le sujet de la création de bouchons est fourni par les recommandations du Commissaire Enquêteur sur la requalification des mails conçue en 2010, en lien
   


    III.          ACTUALISATION SUR LA qualité de l’air :

 

·     Actualisation : Extraits  d’un « rapport inquiétant de l’institut national de veille sanitaire (INVS) sur la qualité de l’air dans l’agglomération d’Orléans », en lien , (une étude sur les années 2008 à 2010 vient d'être rendue publique).

« Les particules fines, les plus sournoises atteignent 19 microgrammes\m3, contre 10 recommandés. C'est surtout ce dernier chiffre qui est préoccupant pour la santé des Orléanais.
Globalement, l'agglomération se situe dans la moyenne de villes comme Nantes, Bordeaux ou Lyon, qui sont pourtant autrement plus denses.

 

Ces polluants représentent un aller direct pour amener, tout droit dans les cellules, des composés toxiques. Facteurs de cancers, d'infertilité, et encore plus dangereux pour les personnes fragiles, comme les enfants, les asthmatiques ou les seniors.

 

L'ARS (Agence régionale sanitaire) a imaginé un scénario dans lequel on baisserait de 5 microgramme\m3 la quantité journalière de particules présentes dans l'air. A cette fin, il faudrait limiter le trafic routier et améliorer la combustion des voitures vieillissantes.

 

En atteignant les recommandations de l'OMS, pour la qualité de l'air dans son ensemble, chaque Orléanais gagnerait huit mois d'espérance de vie à partir de trente ans. Pour cela, il faudrait non seulement poursuivre les actions pendant les pics de pollution mais surtout mener un travail de fond contre la pollution, tout au long de l'année. »    

Il s’agit d’un problème majeur de santé publique:  conf article en lien

Dans le cas d’Orléans il est évident que le sujet est l’éloignement du trafic de transit.

La desserte de nouvelles ZACs par les axes RD2020 - mails – av J Zay – Droits de l’Homme et la densification de ceux-ci ne peuvent que dégrader la situation sur leur parcours, où les particules fines sont déjà au double du seuil recommandé, sauf à organser des circuits pour les délester.
    

Il se pose aussi la question des flux de camions dans l’agglomération résultant du choix de développement d’activités logistiques.    

Les émissions dues à environ 40000 AR de camions / an pour l’alimentation des deux chaufferies à bois situées en zone urbaine, qui s'ajoutent aux flux, ne peuvent que préoccuper les habitants.

S’ajoutent aussi les retombées des composants de leurs fumées, de peu inférieurs aux seuils autorisés : même faibles,
conf lien, ces émissions impactent une situation déjà défavorable (d’où le regret de l’Autorité Environnementale que le dossier de la chaufferie des Groues ne spécifie pas la réduction son régime lors des pics de pollution).
 

Les habitants ont tout intérêt à s'impliquer fortement sur ce sujet, du fait de l'impact sur la santé et du fatalisme des autorités illustré par les propos du maire de Montargis rapportés dans l’article de La République du Centre, en lien

 

   IV.          ACTUALISATION SUR LE SUJET Du bruit :
    
 

·     L’article de La République du Centre, en lien (décembre 2012), qui se réfère aux cartes du bruit de l’AgglO, indique que 52.500 habitants sont soumis à des niveaux de bruit routiers supérieurs au seuil réglementaire.

L’article met en évidence que c’est le cas le long des mails, de la RD2020, de l’av Jean Zay / Droits de l’Homme.

La situation sur ces axes risque donc de devenir catastrophique car d’une part ils seront densifiés et d’autre part ils desserviront les nouvelles ZACs (conf §II) :  
 

 

·     Extraits de l’article :

« Mais à quoi serviront toutes ces données ? Dans un premier temps, à « informer les populations exposées »
 : 19% de la population de l’AgglO pourra découvrir que le niveau de bruit qu’elle subit dépasse la réglementation
 

« ... Dans un second temps, à élaborer un plan de prévention du bruit, prévu pour juillet 2013»  explique Hugues Saury, élu chargé du développement durable à l'AgglO

 

Pour éclairer les choix du PLU, ce « plan de prévention du bruit », devrait préciser :

ü  les conséquences de la densification et des projets à fort impact sur le bruit, dont la transformation de la ligne de Tours en artère de ferroutage, qui longera la ZAC Coligny, la ZAC/éco-quartier  des Groues : conf article antérieur en lien …ainsi que la future ZAC Dessaux
   

ü  des dispositions concrètes, réalistes et efficaces pour réduire le bruit en zone urbaine     

« ... C'est (le Plan de Protection)  un acte important, parce qu'à l'échelle du temps, il engage une prise de conscience » : de qui est attendue cette prise de conscience ? qu’en est-il attendu ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 15:35

                      ZAC-Coligny-copie-1.JPG 

 

  1. INTRODUCTION :

 

L’article de la Tribune d’Orléans du 6mars, en lien, cohérent avec les interventions lors de réunions de quartier, expose la situation dans la ZAC Coligny. 

 

Les éléments de l’article, repris et commentés ci-après, conduisent aux analyses suivantes :

 

ü  la plupart des problèmes évoqués portent sur le manque de convivialité du lieu ou en dépendent

ü  cette situation doit être traitée activement, car la réussite humaine et économique de la ZAC impacte les habitants du site mais aussi l’image de cette zone donc les projets de l’ouest-gare

ü  les problèmes concernent les espaces publics, les enjeux justifiant une démarche analogue à celle adoptée par la Ville pour la "réanimation" de la pl du Martoi, or l'article ne mentionne que la recherche d’un maître d’œuvre pour corriger les problèmes de dallage et de fontaine


Les freins à une reprise de la conception de l’espace public pour favoriser la vie de quartier sont évidents, mais ne pas le faire est très dangereux
: une réputation de quartier (donc son attractivité, sa mixité…) est plus longue et coûteuse à reconstruire qu’un espace public.

 

  1. REPRISE DES POINTS DE L’ARTICLE DE LA TRIBUNE ET OBSERVATIONS :

 

  1. L’introduction de l’article correspond à un ressenti largement partagé

« Une vie de quartier quasi-inexistante, des bureaux difficiles à commercialiser, des commerces fermés et un sentiment d'insécurité pour certains...Pensée comme la ''City orléanaise'', et malgré des atouts indéniables, la ZAC Coligny n'a pourtant pas très bonne réputation. »

Une grande esplanade, des immeubles modernes, un arrêt de tram au pied des résidences flambant neuves, le tout à deux pas de la gare : sur le papier, la ZAC Coligny, désormais achevée à plus de 90%, a de quoi faire rêver. Sur le papier seulement. Car sur le terrain, les critiques fusent…

  1. Manque de vie de l’espace public du point de vue des habitants

«c'est un peu vide. Il n'y a pas grand chose» «Le soir, c'est mort...» «Cette esplanade n'est peut être pas assez "glamour" pour que l'on ait envie d'y flâner, de venir y boire un verre... bref, pour qu'une "vraie" vie l'anime

Les gens passent mais ne s'y attardent pas», souligne la gérante de l'agence Arthur Loyd.

Il ne semble n’y avoir aucune raison au départ, conf ci-avant, pour que le site ne soit pas convivial, c’est la  conception pour la favoriser qu'il faut revoir.

  1. Conséquences pour les commerçants locaux

 «le midi, on a du monde. Mais le soir, ça ne décolle pas. C'est une cité-dortoir !» Depuis la fermeture de la supérette Casino et d'une boulangerie, les emplacements commerciaux ont en effet du mal à trouver preneur et les commerces restent peu nombreux sur la place …

Soit on veut un quartier d’affaires, qui vit à déjeuner (avec les limites ci-dessous), soit on veut concevoir un quartier vivant. 

  1. Les espaces de bureaux :

Le « coup dur » du plan social chez Lexmark, l'une des sociétés installées sur la place »  et « les grands plateaux de bureaux de la ZAC qui peinent encore à trouver preneur »

«Il demeure des surfaces à commercialiser du côté de l'esplanade» plateaux de bureaux sont toujours à la recherche d'utilisateurs tant dans la partie récente (côté RN20) que dans la partie plus ancienne (immeuble Le Coligny)».
La situation «n'est pas exclusive au quartier Coligny !» (gérante de l'agence Arthur Loyd).

La construction de bureaux et le fait que certains restent inoccupés en raison de la situation économique est une chose, qu’il n’y ait pas de vie en dehors de midi en est une autre (la situation actuelle prévaut alors qu’outre les employés de la ZAC il y a dans la chalandise ceux du Centre Administratif situé en face).

  1. Le prix des loyers « assez chers » : 

On ne voit pas en quoi ça pourrait jouer sur la convivialité et l’attractivité de la place et de ses commerces.

  1. L'idée de créer un marché sur la place soumise par quelques commerçants :

«  Risque de déséquilibrer les autres marchés existants »

Il est semble que ce soit une des rares solutions de court terme envisageable pour ranimer les lieux. Que la Ville prenne ce risque en compte est logique mais la création d’un nouveau quartier vivant amène à rechercher de nouveaux équilibres.

  1. Accès en voiture :

    «il y a un réel problème de stationnement. Et accéder à la place par la route est très compliqué»

Concernant l’animation des lieux le seul impact est que les automobilistes de passage ne s’arrêtent pas pour des achats, ce qui n’est d’évidence pas la vocation d’un tel site.

  1. (Sentiment d’) Insécurité :

    «Un ami de mon fils s'est fait agresser 3 fois en 6 mois (coups, vol de portable...) »
    « 
    Les parents ont préféré déménager sur Olivet »
    «un problème d'éclairage sur la place qui persiste, malgré les aménagements effectués par la mairie»
    .
    « La police fait des rondes. La lumière a été renforcée »

Une approche de ce sujet est faite dans l’article, en lien, sur les parcs et squares /  projets « Qualité et sûreté des espaces publics » : outre la conception des lieux et les dispositions pour dissuader les délinquants et faciliter leur interception, il est mis en évidence l’importance de la fréquentation par les habitants donc les activités qui l’induisent, ce qui ramène au sujet du manque de vie du quartier.

  1. Evolution  du quartier :

    «Je suis très optimiste pour ce quartier. Une fois que tout sera réhabilité, toutes les conditions sont réunies pour qu'il fonctionne !»
    affirme l'élue de quartier. «Dans 10 ans, ça sera pas trop mal...» lâche le patron du tabac-presse, mi-figue mi-raisin. «D'ici là, il faut encore qu'on tienne le coup».

     Une procédure de désignation d'un maître d'oeuvre a été lancée pour la reprise de la fontaine et du revêtement de sol de la place haute, pour lesquels des malfaçons avaient été constatées. Les travaux, quant à eux, devraient débuter avant l'été pour s'achever à l'automne prochain.

    confère § Introduction
  1. CONCLUSION :

Il est important de faire plus que des réparations et escompter que la situation s’arrangera d'elle même avec le temps ; c’est urgent si l’on ne souhaite pas ancrer la réputation qu’exprime l’article, et entrer dans une spirale très dangereuse, liés aux départs du type de celui cité dans l’article, qui n’est pas le seul.

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 23:13
Cet article est destiné à  
 
Compléter les articles sur la desserte en site propre de l’Hôpital Nord : il est proposé d’ajouter une réserve sur le parcours de l’ancienne voie ferrée du site de la ZAC Dessault car elle peut être prolongée jusqu’à l’hôpital nord via des ouvrages existants 
 
Apporter des précisions sur le sujet de l’intégration dans le PLU de réserves pour faciliter la création ultérieure de voies routières et de transports en site propre, en lien avec les objectifs de densification 
     
 
I)   COMPLEMENT SUR LA DESSERTE EN SITE PROPRE DE L’HOPITAL NORD :
 
Un article antérieur développe que la création de la ZAC des Groues et de sa voie principale, reliée au carrefour Libération, est une grande opportunité pour réserver un cheminement pour une branche du tram vers l'Hôpital Nord (laquelle desservirait au passage l'éco-quartier)   
 
A cette suggestion Jean Michel Théobald, à partir des connaissances liées à ses anciennes fonctions, ajoute la proposition d'un cheminement en réserve vers l’hôpital Nord sur le parcours d’une ancienne voie ferrée traversant le site de la ZAC Dessault :
« Il y a quelques années, il existait une voie qui desservait la zone industrielle, future ZAC Dessaux (il me semble que cette voie était gérée à l'époque par la CCI)
Sur le plan ci-joint, j'ai tenté d'en reproduire le tracé (approximatif en jaune) : il part au sud du rond-point  "pont de joie" sur le coté gauche de l'usine ex Legay Cartonnage et remonte jusqu'au stade de la Vallée. Le reste du tracé en rouge permet de desservir l’hôpital Nord
L’ensemble du tracé permet de desservir l'hôpital nord sans trop de problème de terrains en passant au milieu de la ZAC Dessaux car il permet de desservir la gare des Aubrais par le coté ouest et passe par le stade la Vallée puis en tournant vers le rond point et en prenant la rue Passe Debout, il finit à l'hôpital nord de plus il passe sous la tangentielle par le passage routier existant »
Ce parcours dessert donc au passage  la ZAC Dessault et le Stade de la Vallée.
  Capture desserte hopital nord via zac dessault
        
 
II)    INTEGRATION DANS LE PLU DE RESERVES FACILITANT L’AJOUT DE VOIES :
 
II-1) Rappels d'articles antérieurs :
 
La Loi Grenelle 2 spécifie que :
 
- Il faut favoriser l'établissement au niveau intercommunal du PLU, qui fixe les orientations et règles pour l’évolution de la forme urbaine, mais il est permis qu'il le soit au niveau communal (possibilité accordée par le législateur face aux réticences de certains élus sur la perte du pouvoir communal sur l’urbanisme de la ville)

- Le SCoT, instrument de planification stratégique et le PDU qui le décline dans le. domaine des déplacements, doivent eux nécessairement être établis au niveau intercommunal.

- Il y a une obligation de compatibilité entre SCoT, PLU et documents sectoriels (PLU, PDU), dont le Préfet au stade du projet d’arrêté du document d’urbanisme, et plus largement dans le cadre de l’exercice de son contrôle de légalité.


Il en résulte une problématique de type « l’œuf et la poule» entre densification et moyens de déplacements qu'elle requiert, dans le cas où, comme à Orléans, y a élaboration d’un PLU communal conforme aux lois Grenelle avant la « grenellisation » du SCoT (et PDU) de l’agglomération, dont la date butée est juillet 2016,
 
... alors que l'articulation entre la densification définie dans le PLU et l'organisation les déplacements est une clé de la qualité de vie dans la ville donc de l’acceptabilité du projet par le citoyen, car elle impacte 
 
- le développement des transports en commun en site propre, comme dans le cas de la desserte de l'Hôpital Nord

   
- les contournements, comme par exemple le contournement ouest mentionné dans un article antérieur, que permettrait l’aboutement de la future voie des Groues avec le pont de l’Europe mais aussi par le pont de l’autoroute (sans préjuger du sujet du péage), le seul pouvant désengorger les autres ponts (en trop faible nombre par rapport à la taille de l’agglomération).

- les accès aux zones densifiées : exemple
des flux liés à l'implantation de la ZAC Sonis dans le quartier Dunois, selon la création ou non d’une voie entre celle-ci et la future voie des Groues, comme indiqué dans l'article en lien.

Un autre exemple significatif, qui figure dans un article antérieur, est le choix des accès à la ZAC Dessault,
susceptibles d'embouteiller la RD2020 et les mails alors que ces voies doivent recevoir de nombreux bureaux (et que les mails devraient cesser d'être une balafre dans le tissu urbain).
 

La solution, pour associer dans le PLU les moyens de déplacements à la densification sans avoir à attendre la mise à jour du SCoT, appliquée dans différents PLU communaux dont celui de Tours, est d'intégrer des réserves de cheminements qui seront « à disposition » des concepteurs / décideurs du SCoT / PDU, lesquels pourront choisir ultérieurement de les utiliser ou non (dans ce cas ils pourront être encore conservés pour permettre une nouvelle décision dans le futur ou être repris pour d’autres usages).
   
II-2) Les réserves de cheminements ont deux conséquences importantes :
  • elles mettent en évidence auprès des citoyens que la densification portée par le PLU est bien pensée, à l’opposé du « densifions et on verra plus tard les conséquences dont il faudra s'occuper si possible» donc sans se défausser sur le futur SCoT (dont les auteurs pourront à leur tour se défausser du fait que la densification aura été décidée en dehors du cadre stratégique du SCoT grenellisé)

  • elles permettent de constituer des emprises dans des zones avant qu’elles ne soient densifiées, donc dans de bien meilleures conditions que, des années plus tard, lorsque le SCoT / PDU entreront en vigueur.  
     
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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 13:42

    Les données sont extraites :

- d’un document de l’Agence d’Urbanisme de l'agglomération Orléanaise

- d'une  étude de 2010 de l’Université de Paris Dauphine / Crédit Foncier / Fondation Dauphine sur l’ « Attractivité résidentielle de 100 agglomérations françaises ».

Une synthèse de cette étude et son contexte sont fournis dans le communiqué de presse qui la présente  

 

 

1) Source : Lettre de l'Agence d’Urbanisme de l’Agglomération orléannaise :

 Capture extrait de document agglo sur la démogaphie

D’où :
                          
Solde naturel               Solde migratoire         Variation totale

            (naissances – décès)  +  (arrivées - départs)   =  évolution 1999-2006

Agglomération Orléans :  +5%             - 2.7%                 =              2.3%

 


2) Source : Etude de l’Université de Paris Dauphine / Crédit Foncier / Fondation Dauphine sur l’attractivité résidentielle de 100 agglomérations françaises

 

a) classement des 30 plus peuplées : 
(en rouge : nombre de départs supérieur aux arrivées)

 

 Capture population 30 premières villes

   

b) carte des évolutions de populations : total = variation interne + arrivées - départs

 

  carte-variation-population.JPG


c) classement par évolution de population des agglomérations où il y a plus de départs que d’arrivées :

                       Solde naturel               Solde migratoire         Variation totale

              (naissances – décès)  +  (arrivées - départs)   =  évolution 1999-2006

Agglomération Orléans : +5%                    - 2.7%                     = 2.3%

 

 Capture-agglomerations-a-solde-migratoire-negatif.JPG

   

d) Précisions sur les « classes » de variations arrivées - départs (Orléans en classe 6)

  Capture-classes-etude-dauphine.JPG

e) information sur l’attractivité des agglomérations :

 

     Capture classes gagnantesCapture-classes-de-perdantes.JPG

f) Facteurs explicatifs de l’attractivité

 

  attractivite-1sur-2.JPG

 

 

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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 12:52
  Les projets ci-après s'ajoutent à ceux cités dans les articles sur les quartiers, soit  :  
  • 4 grands projets cités (et commentés) dans l' Article Bannier Chateaudun Dunois, car situés dans ce quartier ou en lisière : ZAC Coligny, ZAC Sonis, ZAC des Groues, le Front Bati de l'av de Paris
  • ... (à compléter pour les autres quartiers)
   
   Projets majeurs à intégrer dans la reflexion :
          
  • ZAC Dessault ( 110ha sur le site Rivierre Cazalis), opération considérable      
Cent dix hec­tares de ter­rain à amé­na­ger, 2.500 lo­ge­ments, 650.000 m2 de bu­reaux, le centre d’af­faires qui doit ac­cueillir dès 2015 Ci­té­vo­lia - le nou­veau siège de la Chambre de com­merce et d’In­dus­trie du Loi­ret - et un bâ­ti­ment dédié à la Fé­dé­ra­tion du Bâ­ti­ment du Loi­ret re­pré­sente la plus im­por­tante opé­ra­tion d’ur­ba­nisme ja­mais en­ga­gée sur l’Or­léa­nais de­puis l’après-guerre.
 «Il fau­dra trente ans pour amé­na­ger les 110 hec­tares de cette Zac Des­saux en un quar­tier d’af­faires qui va faire bas­cu­ler le centre de gra­vité des ac­ti­vi­tés ter­tiaires d’Or­léans vers l’ouest». Charles-Eric Le­mai­gnen, pré­sident de la com­mu­nauté d'ag­glo­mé­ra­tion d’Or­léans, la col­lec­ti­vité dé­sor­mais en charge de la maî­trise d’ou­vrage de ce dos­sier, l’un des plus lourds ja­mais réa­lisé lo­ca­le­ment, tient tout de suite à tem­pé­rer les im­pa­tiences. «Dans un pre­mier temps, il s’agit de tra­vailler sur un pé­ri­mètre de 34 hec­tares. Mais en terme de voi­rie, de co­hé­rence, il faut s’as­su­rer que tous les pro­jets pour­ront être réa­li­sés en sy­ner­gie les uns avec les autres». Avec des in­va­riants : l'amé­na­ge­ment de la RD 2020, le pro­jet Ci­té­vo­lia et le «re­tour­ne­ment de la gare».
Vaste pro­gramme car au cœur de l’en­jeu, il y a aussi la créa­tion d’un nou­veau dé­bou­ché pour cette gare de Fleury (ar­ri­vée de TGV ou pas), qui va contri­buer à rap­pro­cher l’ag­glo­mé­ra­tion or­léa­naise de Paris. C'est d’abord la Chambre de Com­merce et d’In­dus­trie qui avait pointé l’in­té­rêt de ces ter­rains. Avec un pre­mier pro­jet : ins­tal­ler un siège so­cial com­mun à la CCI et à la Chambre de Com­merce et d’In­dus­trie de la Ré­gion Centre avec à la clé, le re­grou­pe­ment sur la zone des for­ma­tions et des écoles pi­lo­tées par la CCI.
  ...mais son Ecole de Com­merce et de Ges­tion, ac­tuel­le­ment im­plan­tée sur le bou­le­vard de Cha­teau­dun, pour­rait s’in­té­grer au futur pôle uni­ver­si­taire du bou­le­vard Ma­de­leine. Par contre, le pôle ''­for­ma­tions qua­li­fiantes- for­ma­tion conti­nue'' pren­drait bel et bien le che­min de Ci­té­vo­lia. Dans quelques se­maines, la CCI de­vrait lan­cer un concours d’ar­chi­tectes pour lan­cer la réa­li­sa­tion de son nou­veau siège. Un bâ­ti­ment qui de­vrait être suivi par le nou­veau siège de la fé­dé­ra­tion du Bâ­ti­ment et des Tra­vaux Pu­blics du Loi­ret. Du côté de l'Ag­glO, le rendu de l'étude de fai­sa­bi­lité du pro­jet est at­tendu avant la fin 2012. =
Un concours d'équipes d'urbanistes et d'architectes a été lancé jeudi 26 janvier en conseil d'agglomération pour la ZAC Dessaux, qui prévoit à terme l'émergence d'un nouveau quartier de 110 ha sur les communes d'Orléans et de Fleury. Trois équipes seront sélectionnées durant le mois de mars. Elles auront ensuite jusqu'à la fin de l'année pour présenter leur esquisse de projet urbain ainsi qu'une estimation du coût de l'aménagement. L'équipe lauréate sera alors désignée pour travailler avec l'AgglO. Les trois concurrents seront indemnisés à hauteur de 100.000€ chacun.
  • Hopital Nord,  opération de l'ordre du tiers du nouveau CHR...mais sa surface utile pourra doubler d'ici 2020 

  (extrait de lettre valloire : Hôpital Nord d’Orléans : ce sera pour 2013)

Le chantier de l’hôpital nord d’Orléans est parti. Environ trente mois de travaux pour construire, à Saran, le pendant du nouveau CHR d’Orléans-La Source, dont l’ouverture est prévue un an plus tard, en 2014. Le pôle santé privé Oréliance – c’est son nom – proposera 497 lits avec des possibilités d’extension, contre 1 184 lits pour l’hôpital public du sud de l’agglomé-ration.

19-1-11 - Eiffage a donné les premiers coups de pelleteuse sur le vaste terrain où va se construire, durant les trente mois qui viennent, le pôle santé Oréliance. Un investissement de plus de 110 M€ pour cet équipement de 50 000 m2 de SHON qui proposera 497 lits et places, deux blocs opératoires sur deux étages, trois services d’urgence, quatre pôles d’hébergement, quatre pôles de soins ambulatoires et cinq salles d’accouchement. Le projet conçu par le cabinet d’architectes-ingénieurs AIA est évolutif et la surface utile pourra être doublée d’ici à 2020.
Un bon millier de personnes, en additionnant salariés de l’hôpital, médecins libéraux et leur personnel et employés des sociétés de sous-traitance, travailleront sur le site saranais.
...
Car l’hôpital privé du nord est le digne pendant du projet de nouveau centre hospitalier régional de La Source (161 000 m2 développés pour 1 184 lits et places) qui remplacera, à priori en 2014, les hôpitaux existants à La Source (583 lits) et celui de la Porte Madeleine (336 lits).
 

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 10:08

Thèmes et sujets d'actions réalisées par SCEVE dans le quartier Bannier Chateaudun Dunois à utiliser / prolonger dans le PLU  :

· Thème 1 : Protection du végétal urbain

1-1    Dispositif de protection des arbres (proposition retenue par la Ville) : basé sur l’obligation d’une autorisation avant toute modification de l’état du paysage arboré urbain (identifié a minima à partir par des vues depuis les voies, à compléter par des vues du ciel pour couvrir les arbres non visibles depuis les voies) : entrée en vigueur en 2011 de la ‘Charte de l’arbre d’Orléans » ; le PLU, en définissant le paysage urbain recherché, devra fournir le « socle » de ce dispositif.

1-2    Renforcement de la protection de zones vertes de jardins en venelles venelle (proposition retenue par la Ville) :
entrée en vigueur de modifications du Plan d’Occupation des Sols en 2012 pour couvrir les zones des Vaupulents, du Moulin et du Ponceau; le PLU, qui se substituera au POS (Plan d’Occupation des Sols) devra pérenniser cette protection en l’intégrant dans le projet urbain

         ·Thème 2 : Déplacements

2-1)  Eloignement du transit auto à distance des zones d’habitations denses :

définition d'un rôle de boulevard pour la future voie des Groues, et objectif de sa mise en continuité pour contribuer à un réseau ouest de contournement, dont pour anticiper l’impact de la future réduction, par « étranglement », du trafic sur les mails : le PLU doit apporter des solutions sur ce sujet

2-2) Desserte des zones d’habitations denses :

·          demande, acceptée par la , de dispositions pour dissuader le transit de shunt des axes de circulation par les petites rues.

·          demande de bonne liaison de la ZAC Sonis à la future voie des Groues : à intégrer dans le PLU

2-3) Stationnement :

·            demande d’utilisation de nuit en résidentiel, de parkings affectés à

de jour à des bureaux

·            plan de stationnement à intégrer dans la réflexion sur le PLU

2-4)   Continuité des pistes cyclables :

·            demande de création d’une passerelle vélos parallèle au pont des

Murlins pour relier le futur éco-quartier /piste de la voie des Groues aux pistes Murlins / Chateaudun / liaisons hyper-centre : acceptée par la Ville dans la cadre du budget du quartier et voie des Groues

·            demande acceptée de rachat par la Ville d’une bande de terrain en

lisière d’une opération immobilière (SNI) pour relier des tronçons cyclables : continuité du réseau cyclable  à intégrer dans le PLU


2-5)   Relevés des évolutions de flux
des différents modes de déplacements

· Thème 3 : Pollutions

3-1)   Bruit : prévision de création d’une artère de ferroutage : dispositions à

prévoir dans le PLU

3-2)   Pollution de l’air : à intégrer dans la conception du PLU

3-3)   Rayonnements : implantations d'antennes à préciser dans le PLU

3-4)   Lutte contre l’emploi des pesticides
: pour mémoire

3-5)   Suivi de la biodiversité : critère de qualité de l’environnement (avec aide de la 
Ville) : pour mémoire.

· Thème 4 : Méthodes de concertation

L'expérience, avec les Elus, Services, et tous les acteurs impliqués dans les évolutions du quartier (dont les riverains d’opérations) et de quartiers voisins (dont Associations d’autres quartiers)  a permis de fixer un positionnement et des méthodes, dont l'essentiel a fait l'objet d'une charte intégrée aux Statuts de SCEVE
    sigle creo

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 23:03

    Cadre urbain du quartier / flèche = shunt de la tangentielle par "aspiration" par la voie des Groues si sa conception y incite (conséquence : la voie des Groues attirerait alors du trafic en zone dense, dont  dans l'eco-quartier des Groues, en contradiction avec les objectifs voulus pour le PLU) Attention à l'impact sur la flèche de court-circuit de la tangentielle des transformations urbaines (voies...) liées à l'impantation de la (considérable) ZAC Dessaux (110 ha) sur le site "Rivierre Cazalis")

 

 

 

Périmètre du quartier  

     Capture zones vertes du quartier BCD

 

Capture structure du quartier BCD-copie-1

Organisation des axes du quartier / flèche = demande de raccordement de la ZAC Sonis à la future voie (boulevard) des Groues (pour éviter que les flux d'entrée-sorties de la ZAC ne se fassent à travers les petites rues du quartier)

Capture structure du quartier BCD suite 

 

 

Points forts du végétal du quartier : Parcelles boisées, Espace Boisé Classé et Zones de jardins en venelles (3 zones de jardins en venelles à protéger : Vaupulents, Moulin, Ponceau)

    Capture zones vertes du quartier BCD suite 

 

  

Opérations / projets dans le quartier ou à fort impact sur celui-ci

    Capture opérations dans le quartier BCD
   
Opérations d'aménagement à très fort enjeu dans le quartier ou en lisière

ZAC Sonis (ajout aux éléments figurant dans le lien : reconversion en habitat de la zone initialement prévue pour 15000m2 de bureaux entre pl d'Armes et r de Loigny).

Ce projet pose en particulier des problèmes suivants : promiscuité entre appartements en vis à vis, hauteur annoncée R+4 devenu de fait R+6  du fait de droits ouverts par les toitutes en attique (+6m), accès difficile axes déjà chagés ou petites rues inadaptées.

Modifications proposées : désenclavement par un accès à la voie des Groues 

 

ZAC Coligny En cours de terminaison

Ce projet pose en particulier des problèmes suivants : les bâtiments et la minéralité rendent le site bruyant par réflexion des sons, manque de square dans cette zone.

Modifications évoquées : ajout de végétal

ZAC des Groues Syndicat entre Orléans et St Jean de La Ruelle en activité : études en cours / projet initial prévu pour 1200 logements et parc boisé de 8ha

Front bâti av de Paris   (§ et bientôt) Construction d'un front bâti de la gare au pont de Quebec : projet à l'étude / concertation attendue

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 18:40

     

Une carte interactive est disponible sur le site de l'AgglO

 

Capture zone urbaine

 

     Capture ZPPAUPCapture-trafic.JPG Capture couverture tram

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Pausager) d'Orléans

 

appelée après le Grenelle 2 à se transformer en AVAP (Zone de mise en Valeur de l'Architecture et du PAtrimoine)

sigle creo

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